Une force incroyable
Monsieur Costaud, ainsi que tous les livres pour enfants de la collection Monsieur Madame écrits par Roger Hargreaves, sont encore les favoris de notre famille. Après avoir reçu une transformation en 2008, Monsieur Costaud n’est plus carré ; il a les épaules plus larges, la taille plus fine et les biceps saillants, mais il reste toujours l’homme le plus fort du monde. Savez-vous d’où il tire sa force incroyable ? Elle vient de tous les oeufs qu’il mange ! La protéine des oeufs est riche en leucine, un acide aminé essentiel qui joue un rôle important dans la façon dont nos muscles utilisent le glucose, et contribue ainsi à donner de la force, à satisfaire l’appétit et à pourvoir à une source d’énergie durable.
Le courage de Kossi
En attendant de se faire baptiser dans le fleuve Mono, au Togo, Kossi s’est penché pour ramasser une sculpture de bois usée. Il y avait des générations que sa famille adorait cette figurine grotesque, que ses proches le regardaient maintenant jeter dans un feu que l’on avait préparé à cette intention. Aucun autre de leurs poulets de choix ne serait sacrifié à ce dieu.
Question de style
Mon pasteur utilise la méthode logique d’un enseignant pour monter habilement ses prédications. Il prêche sur un passage de la Bible verset par verset et se réfère à d’autres passages pour obtenir un contexte historique. On voit clairement qu’il est passionné par la vérité même s’il hausse rarement le ton.
Sa Parole : le mot de la fin
Dawson Trotman, leader chrétien dynamique du milieu du XXe siècle et fondateur des Navigateurs, a insisté sur l’importance que revêt la Bible dans la vie du croyant. Trotman terminait chacune de ses journées par ce qu’il appelait « Sa Parole : le mot de la fin ». Avant de s’endormir, il méditait un verset ou un passage biblique qu’il avait mémorisé, puis il priait pour que celui‑ci influence le cours de sa vie. Il désirait que les dernières paroles qui nourrissaient sa réflexion chaque jour soient celles de Dieu.
Bonté certaine
En grandissant, ma soeur et moi avons reçu de nos parents un enseignement sur l’amour de Jésus et nous avons appris à apprécier la prière personnelle avec lui. Étant plus âgée, les diverses épreuves de la vie m’ont mis beaucoup de pression et mes prières se sont transformées en requêtes fondées sur mes besoins plutôt qu’en dialogues avec celui qui aime donner à ses enfants (MT 7.11). Autrement dit, mes prières dépendaient des circonstances plutôt que du caractère de Dieu. Avec le temps, j’ai appris à demander selon sa volonté, mais aussi selon sa bonté.
Un coeur compatissant
Nous étions sept à tenter de nous asseoir dans la même rangée pour assister à un concert donné dans un parc d’attractions bondé, mais une femme est venue vite s’interposer entre nous. Ma femme lui a alors indiqué que nous souhaitions rester ensemble, mais la nouvelle venue lui a répondu « Tant pis ! » en s’installant là malgré tout avec ses deux compagnons.
Joie et bonheur
Ma femme Merryn et moi avons passé Noël dernier sur l’Île de Mull en Écosse. Les montagnes enneigées et les paysages colorés en font un endroit magnifique ! Un moment nous roulions dans une tempête de neige et l’instant d’après nous voyions apparaître un arc-en-ciel double visible d’un bout à l’autre. Pour moi, Mull est un endroit de contes de fées.
Dans les coulisses
Ma fille a envoyé un texto à une amie dans l’espoir de recevoir rapidement la réponse à une question. Son service de messagerie lui a signalé que son message avait été lu, si bien qu’elle a attendu d’y recevoir une réponse. Au bout de quelques instants à peine, ma fille rechignait déjà. Puis sa contrariété s’est changée en inquiétude, car elle s’est mise à se demander si ce retard signifiait que leur relation s’était détériorée. Une réponse a fini par lui parvenir, et ma fille a alors pu constater à son grand soulagement que leur relation était intacte. Son amie avait tout simplement dû faire quelques recherches pour bien répondre à sa question.
Fais quelque chose !
Lorsque j’étais enfant, mon père m’incitait à être courageux et à prendre des risques. Il voyait bien que je réfléchissais trop aux situations ou que je me protégeais. « Fais quelque chose ! » me disait-il. Puis, pour plaisanter, il ajoutait : « Même si c’est mauvais, fait quelque chose ! »
Quand oui veut dire non
Je suis reconnaissante envers Dieu pour le privilège d’avoir vécu chez ma mère pour lui servir d’aidante naturelle durant son combat contre la leucémie. Lorsque les médicaments ont commencé à lui causer plus de tort que de bien, elle a décidé de cesser ses traitements. « Je ne veux plus souffrir, m’a‑t‑elle dit. Je tiens à profiter de mes derniers jours en compagnie de ma famille. Dieu sait que je suis prête à rentrer à la maison. »